Produisez votre propre engrais.

Ne jetez plus, valorisez!

Vous avez les plus belles matières premières dans votre cuisine par vos épluchures.

Les vers de terre « Eisenia foetida » sont des véritables acteurs de l’ombre qui s’activent pour transformer vos déchets. Le procédé est écologique, pratique et sans odeur. Réduisez de 40 à 50% le contenu de votre poubelle grâce aux lombricomposteurs Can-O-Worms et Worm-Café.

Chaque  plateau permet de récolter environ 10kg de lombricompost humide utilisable de suite ou alors 5kg de lombricompost séché à l’air pour être mis en sac et utilisé ultérieurement.

Les lombrics « Eisenia foetida » sont pourvus de chacun 5 coeurs et travaillent jour et nuit au recyclage de vos déchets organiques.  Ils n’ont pas de yeux, pas d’oreilles, n’émettent pas de sons et mangent l’équivalent de la moitié de leur poids chaque jour. Ils migrent en passant au travers des 2 ou 3 plateaux selon la taille du lombricomposteur choisi, au moyen des trous prévus à cet effet et conçu à leur taille.

lombricomposteur en coupe detouré sans tapis web

Vous n’avez pas besoin d’arroser : l’eau contenue dans les déchets leur suffit. Récupérez le liquide au moyen du robinet, il est issu de l’écoulement naturel provenant de la déperdition en eau des déchets. En passant à travers les plateaux, il s’enrichi des nutriments présents dans le lombricompost et cela en fait un remarquable engrais liquide (appelé aussi « thé de ver »), à diluer à 10 % pour toutes vos plantes de jardin ou de balcon et plantes d’appartement.

Parce qu’il provient de la digestion par les vers de terre, le lombricompost produit est biodynamique et directement assimilable par les végétaux. Les lombrics se reproduisent en fonction de leur espace vital et de la quantité de nourriture qui leur est donnée. Les œufs, appelés capsules, mettent 3 semaines pour éclore et peuvent donner plusieurs petits, qui mettront 3 semaines à grandir et atteindre leur maturité qui leur permettra à leur tour de se reproduire. Ils s’autorégulent en fonction de leur espace vital et de la quantité de nourriture qu’ils reçoivent.

Le lombricompostage se pratique aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur, car il est sans odeur.

Afin que votre lombricomposteur puisse travailler efficacement, veillez  à le mettre à l’abri du soleil, de la pluie et du gel.

Les lombrics ont, entre autre, cette étonnante particularité qu’en passant partout,  ils neutralisent les odeurs. Ils interviennent ainsi avant  la fermentation. Ceci est dû à la teneur d’une substance apparentée au ‘pénicillium’ qui est un antibactérien naturel contenue dans leur corps.

Nous proposons égalent une poudre ‘régulateur de compost’ qui empêche la formation des moucherons et active la décomposition des végétaux pour permettre aux lombrics de pouvoir plus rapidement manger les végétaux en décomposition.

Précautions pour l’hiver:

Les lombrics, ne gèlent pas, mais suivent l’évolution biologique de la nature. Dès que les températures arrivent proche de zéro degré, les végétaux ne se décomposent plus. Les lombrics vont se mettre en dormance. Vous avez le choix de le protéger avec une couverture, mais en prenant la précaution de mettre un plot sur le couvercle, de telle sorte que la cela fasse un pont d’air entre le couvercle et  la couverture, cela va empêcher d’obstruer les aérations du couvercle, ou de rentrer votre lombricomposteur s’il a passé la belle saison dehors: veillez à recouvrir toute la surface des déchets frais avec une couche de compost prélevé dans le bac inférieur s’il y en a assez ou d’une bonne couche d’épluchures de légumes racines, tels que pommes-de-terre ou carottes, par ex. Cela va éviter que les œufs de moucherons ne s’imaginent être au printemps… et n’éclosent. Pensez d’ailleurs à vous allier avec du papier journal en permanence, on peut en mettre jusqu’à 20 à 30 %, pour recouvrir les déchets avec du journal: mettre les déchets par-dessus, en remettant une nouvelle couche de journal par-dessus, qui sera à lever comme une couverture. Lorsque la couche supérieur aura trop pris l’humidité, laissez-le tel quel dedans et remettez une nouvelle couche de journal, et ainsi de suite. Le journal étant de la cellulose, cela a pour effet de remonter le taux du PH du compost, qui lui, a tendance à descendre avec les fruits, et ainsi éviter la prolifération des moucherons.

L’encre du journal n’est plus toxique, parce que le plomb qui entrait dans sa composition est prohibée depuis les années 1980. Il est donc à 98% végétal et à 2% minéral, et ces 2% ne dérangent pas du tout les lombrics !

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